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| CAC 40 | EUROSTOXX 50 | Nikkei 225 | NASDAQ | Dow Jones | 5 075,19 | 3 207,42 | 22.085,80 | 7 375,96 | 25 635,01 | - 0,51 % | - 0,31 % | - 0,28 % | + 0,64 % | + 0,68 % |
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| | | | Edition Privilège pour DELPHINE TILLAUX, | | | |  La Bourse de Paris attendue en hausse à l'ouverture
| | | | Donald Trump perd les pleins pouvoirs et clame sa victoire | | | A l'issue du scrutin de mi-mandat, Donald Trump a tweeté "son immense succès" et a remercié ses électeurs. Pourtant, comme les sondages l'avaient annoncé, la Chambre des représentants est redevenue à majorité démocrate. Cela dit, pas de vague bleue au Congrès, puisque le parti républicain conserve le Sénat et conforte même ses positions, avec davantage de sénateurs "rouges" élus. Néanmoins, le président a perdu les pleins pouvoirs, un scénario finalement assez classique, puisque la plupart des présidents américains ont connu ce revers des urnes à l'issue des "midterms". Très fortement mobilisé, l'électorat du président a répondu présent avec des sénateurs républicains élus au Texas et en Floride, deux Etats emblématiques. Le locataire de la Maison-Blanche pourra donc poursuivre la nomination de juges conservateurs au niveau fédéral. En revanche, il perd la main sur la sphère économique. Toutefois, la réforme fiscale et l'allègement de la réglementation ne pourront pas être remis en cause. Les marchés qui s'attendaient à cette cohabitation, ne devraient pas sanctionner ce partage des pouvoirs. Le contrat future sur le S&P 500 progresse légèrement ce matin. La politique keynésienne devrait être maintenue et si les taux d'intérêt poursuivent leur remontée, Donald Trump pourra mettre le futur ralentissement économique et les créations d'emplois moins nombreuses à venir sur le dos des démocrates. Il va garder la main sur la politique étrangère et sur les négociations commerciales avec la Chine, qui est la plus grosse préoccupation des investisseurs. Journée décidément chargée pour les boursiers, puisque débute la réunion du comité de la Réserve fédérale (elle s'achève demain sans conférence de presse). La poursuite du durcissement de la politique monétaire américaine, reste la préoccupation majeure des marchés et si aucune hausse des taux n'est prévue cette fois-ci, un geste est attendu d'ici à la fin de l'année et sans doute encore plusieurs en 2019. Ainsi, l'évolution des taux sur le marché obligataire est bien plus importante pour la future orientation de Wall Street et des marchés, que le résultat électoral de ce « mid-term ». Depuis que l'emprunt d'Etat à 10 ans a franchi durablement la barre des 3%, qui entérine la fin du QE (assouplissement monétaire), les investisseurs ont à leur disposition un véhicule liquide, dont la rémunération n'a pas été aussi élevée depuis 2011. Il y a désormais une alternative aux actions. C'est ce qui perturbe le plus la cote et c'est pourquoi tout dépassement de ce seuil pourrait être dangereux, notamment pour les titres dont les PER sont élevés. Comme le fait remarquer Didier Lemenestrel, le président de La Financière de l'Echiquier dans sa dernière note de marché, lorsque les taux sans risque ne rapportent rien, le prix des actifs censés délivrer un taux supérieur, peut être infini. Il explique que cette logique très puissante depuis 2011 a entraîné des distorsions de prix sur des actifs tangibles, par exemple les entreprises dites de croissance visible ». En cas de nouvelles tensions sur le marché obligataire américain (vers les 4% pour le 10 ans), les valorisations excessives se dégonfleraient à nouveau. Du côté des entreprises, Crédit Agricole a fait état d'une progression de plus de 3% de son résultat net au troisième trimestre, portée par sa banque de financement et se dit confiante sur ses objectifs. Nous sommes à l'achat pour viser 15 euros. Engie confirme également ses objectifs pour 2018( dans le bas de la fourchette) des prévisions pour le résultat net récurrent. Nous sommes acheteurs, avec un objectif de 15,5 euros. Veolia Environnement.a publié mercredi des résultats en nette hausse au titre des neuf premiers mois de 2018, tirés notamment par les volumes de déchets et par son programme d'économies, et a confirmé l'ensemble de ses objectifs. Nous achetons pour viser 22 euros. | | | | Sylvie Aubert,
Grand Reporter | | |
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| | Conseil du jour en avant-première | |
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| | Un oeil sur les Etat-Unis et l'Asie | |
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| | DOW JONES + 0,68 %
Wall Street a terminé en hausse, dans l'attente des résultats des élections de mi-mandat. | | 
| | NIKKEI 225 - 0,28 %
Le marché japonais a clôturé sur une baisse légère de 0,28% au terme d'une séance volatile, marquée par les élection de mi-mandat aux Etats-Unis. . |
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| | Nos dernières recommandations | |
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| | Changements de recommandations des analystes en avant-première | |
| | | | | | Imerys
HSBC a relevé sa recommandation de "conserver" à "acheter" | | Arkema
Credit Suisse a relevé son conseil de "sous-performance" à "neutre". |
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| | Analyse graphique du CAC 40 | |
| | | | | | TENDANCE À COURT TERME | | | Les niveaux à surveiller :
5221.00 ; 5010.00 | 5300.00 ; 4897.00 | | | 
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| | | | La position de Trading Central est redevenue acheteuse. Au-dessus du point pivot de 5.010 points, une poursuite du rebond est envisagée avec des cibles à 5.221 points et 5.300 en extension. En cas de cassure des 5.010 points, un retour de la baisse vers les 4.897 et 4.735 points est attendu. | | |
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| | Les grands Rendez-vous du jour | |
| | | | | | Zone euro Commerce de détail de septembre (11 heures). | |
| | Etats-Unis - Réunion du FOMC de la Réserve fédérale (première journée). - Stocks hebdomadaires de pétrole du département de l'Energie (16 h 30). - Crédit à la consommation de septembre (21 heures). | |
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| | | | > Plus d'événements | | |
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| | | | | | | Les cadres dirigeants n'ont plus le moral | | 
| | Si certains indicateurs publiés en septembre et octobre auraient pu laisser penser que le moral des chefs d'entreprise était reparti à la hausse, le baromètre mis en place par l'Association des Centraliens et l'Association des Supélec (et confié à la société Formitel), dans le cadre des « Face à Face CentraleSupélec », va lui, en sens inverse. Ce baromètre est basé sur un panel de plus de 800 ingénieurs CentraleSupelec dont 60% de cadres dirigeants dans l'industrie et 40% dans les services. Il repose sur quatre questions dont deux personnelles et deux concernant l'Hexagone qui sont : la confiance des personnes interrogées, pour les prochains mois, dans l'avenir de l'industrie en France et dans le positionnement de l'industrie française par rapport aux pays concurrents. Or, après l'embellie du début 2017, la stabilisation du premier trimestre, le moral de ces cadres n'est visiblement plus au beau fixe. Moins d'un cadre dirigeant sur deux est encore optimiste. L'effet « Macron » a-t-il déjà disparu ? On reste toutefois encore bien au-dessus des niveaux atteints lors du précédent quinquennat. |
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| | | | | | | Attention, Amazon va plus loin! | Nos distributeurs tricolores ont du souci à se faire ! Le géant américain a lancé aux Etats-Unis depuis le 2 novembre une nouvelle option de livraison baptisée « Amazon Day », nous explique LSA. Cette offre ne touche qu'une partie de ses clients Prime. Lorsqu'ils achètent un article, ces internautes se voient proposer trois propositions de livraisons : 24 heures, 48 heures ou l'option Amazon Day. Avec cette dernière option, ils reçoivent le colis le jour de leur choix ! La plupart des produits qui peuvent être livrés sous deux jours disposent de cette offre, indique le groupe. Les consommateurs peuvent ainsi s'organiser en sachant exactement quand passera le livreur. C'est aussi très pratique pour les personnes, qui, par exemple, sont en télétravail chez elles un jour ou deux par semaine. Bref, Amazon Day ajoute de la valeur ajoutée à Amazon Prime, dont le tarif a été augmenté de 20 % (119$ par an), en avril 2018. Mais grâce à ce service, la société de Seattle (plus pour longtemps car elle va bientôt déménager son siège social) va non seulement alléger la pression sur sa chaîne logistique (des produits seront livrés en plus de deux jours), mais elle va limiter le nombre de colis placés en instance, quand la personne n'est pas là au moment de l'arrivée ou livrée avec retard. Enfin, cette nouvelle proposition « Amazon Day » peut aussi inciter les internautes à rassembler leurs commandes pour le même jour, ce qui permettra d'économiser sur les frais d'emballage (marchandises dans un seul carton) et de massifier les flux en limitant le nombre de va-et-vient des livreurs. Résultats de cette nouvelle offre: des clients plus heureux, des concurrents à nouveau mis à mal et, cerise sur le gâteau, des économies de coûts pour Amazon ! | | Sylvie Aubert,
Grand Reporter |
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